Ne l'appelez-plus Partner, le ludospace de Peugeot change de nom et prend la dénomination de Rifter pour tenter de se différentier de ses cousins Citroën Berlingo et Opel Combo Life. Ne Simple coup marketing ou réelle nouveauté, c'est ce que nous vous proposons de découvrir avec nous. Les premières images de l'essai en live ci-dessous.
Même si les ludospaces sont particulièrement pratiques, pour beaucoup d'automobilistes, il s'agit avant tout d'utilitaires adaptés pour les particuliers. Sur le fond, ce n'est pas faux mais ce Rifter veut prouver qu'il a bien d'autres qualités.
Tout d'abord son style, radicalement différent de ceux du Citroën Berlingo et Opel Combo Life, se rapproche des autres modèles de la marque avec une calandre verticale et des projecteurs avant et arrière bénéficiant d'une signature visuelle particulière .
Mais ce n'est pas tout car il dispose de série d'une allure baroudeuse avec une garde au sol rehaussée, des protections de carrosserie et des barres de toit.
Si l'extérieur évolue, dans l'habitacle, c'est une sorte de mini-révolution. Peugeot a tout simplement installé le i-cockpit. Alors certes, l'instrumentation haute n'est pas numérique mais analogique mais on retrouve également l'écran multimédia orienté vers le conducteur et le petit volant. Autre changement d'importance, l'arrivée pour la première fois de la finition haut de gamme GT-Line réservée habituellement aux berlines et SUV de la marque.
Si les modifications sont profondes par rapport à la précédente édition, il conserve toutefois des aspects pratiques très bien pensés avec un volume de chargement de 775 litres et pouvant même atteindre 3 000 litres et pour ceux qui en veulent encore plus, une version longue (+ 30 cm à 4,75 m) apparaitra dans quelques mois.
Sous le capot, le nouveau Rifter reçoit au choix le moteur essence 1.2 PureTech (110 et 130 chevaux) ou le bloc diesel 1.5 BlueHDi (75, 100 et 130 ch). La boîte automatique EAT8 sera uniquement proposée sur les deux blocs de 130 ch. Pour cet essai se déroulant dans l'arrière pays monégasque, nous aurons entre les mains une version BlueHDi 130 en finition GT-Line.
Premières impressions de conduite Dès l'installation à bord de ce Rifter, on découvre le i-cockpit et surtout son petit volant. La position de conduite est surélevée mais au bout de quelques kilomètres, on ressent moins le dynanisme habituel. Certes, les améliorations sont notables par rapport à la précédente génération notamment au niveau du confort, mais on ressent tout de même de nombreux mouvements de caisse notamment en virages. Ce premier essai s'est effectué au volant du diesel le plus puissant à savoir le BlueHdi 130 ch. Un moteur agréable et qui permet au Rifter de disposer d'une grande polyvalence quelle que soit l'utilisation.
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