
Avec le lancement de la DS N°8, DS Automobiles inaugure une nouvelle ère en proposant une berline haut de gamme 100 % électrique. Ce modèle incarne un nouveau langage stylistique pour la marque et marque sa transition vers une gamme exclusivement électrifiée. Face à elle, la Volvo ES90 se positionne comme une concurrente directe sur le segment des berlines électriques premium. L'occasion de comparer les deux modèles, en examinant leur design, leurs dimensions, leurs motorisations et leurs autonomies respectives.
Design extérieur et intérieur : similitudes et différences
La DS N°8 affiche un design audacieux, caractérisé par des lignes tendues et effilées, inspirées du concept DS AERO SPORT LOUNGE. Cette recherche d'efficacité aérodynamique se traduit par une silhouette élancée et une signature lumineuse distinctive. La calandre avant, bien que symbolique sur un véhicule électrique, inaugure un écran permettant de proposer des animations et un logo DS illuminé. Les poignées de porte affleurantes et les jantes aérodynamiques renforcent son allure moderne. À l'intérieur, la N°8 offre un habitacle luxueux, mêlant matériaux nobles et technologies de pointe. L'interface utilisateur est épurée, avec un écran central tactile intégré harmonieusement au tableau de bord, et des commandes haptiques pour une expérience tactile raffinée.
De son côté, la Volvo ES90 adopte une esthétique scandinave épurée. Son design extérieur se distingue par une silhouette élancée, des phares à LED en forme de "T" et une absence de calandre traditionnelle, reflétant son identité électrique. Les rétroviseurs sans encadrement ajoutent une touche contemporaine à l'ensemble. L'intérieur de l'ES90 privilégie le minimalisme et la fonctionnalité, avec des matériaux durables et une attention particulière au confort des passagers. L'habitacle spacieux intègre des technologies avancées, notamment un système d'infodivertissement moderne et une connectivité étendue.
Dimensions extérieures et intérieures
La DS N°8 mesure 4 950 mm en longueur, 1 930 mm en largeur et 1 580 mm en hauteur, avec un empattement de 2 900 mm. Ces dimensions lui confèrent une présence imposante sur la route tout en assurant une habitabilité généreuse pour les passagers arrière. Le volume du coffre s'élève à 450 litres, offrant une capacité de chargement adaptée aux besoins quotidiens.
La Volvo ES90, quant à elle, affiche une longueur de 5 000 mm, une largeur de 1 942 mm et une hauteur de 1 546 mm, avec un empattement de 3 102 mm. Des dimensions légèrement supérieures à celles de la N°8 mais les deux berlines proposent beaucoup de similitudes et entrent donc en concurrence frontale. si la Volvo ES90 propose un empattement plus grand que N°8, elle n'offre un coffre que de 424 litres contre 450 litres pour la berline électrique française.
Motorisations et autonomies : des performances électrisantes
La DS N°8 est disponible avec trois motorisations 100 % électriques développant respectivement 230 ch, 245 ch et 350 ch, cette dernière étant équipée de deux moteurs et d'une transmission intégrale. Ces motorisations permettent à la N°8 d'atteindre une autonomie estimée à 750 km selon le cycle WLTP. La N°8 prend en charge la recharge rapide jusqu'à 200 kW, permettant de récupérer 80 % de la batterie en environ 30 minutes.
La Volvo ES90 offre plusieurs configurations de motorisation. La version de base est dotée d'un moteur arrière de 245 kW (333 ch) et d'une batterie de 88 kWh, offrant une autonomie allant jusqu'à 700 km selon le cycle WLTP. Les versions à double moteur disposent de deux moteurs électriques, délivrant respectivement 330 kW (449 ch) et 500 kW (680 ch), associés à une batterie de 102 kWh. Grâce à son architecture 800 volts, l'ES90 supporte une recharge ultra-rapide jusqu'à 350 kW, permettant de récupérer 300 km d'autonomie en seulement 10 minutes.
Ici, Volo prend un net avantage avec des puissances largement supérieures pour les moteurs mais, surtout, une architecture 800 volts qui permet de recharger plus rapidement les batteries. Cependant, la N°8 se distingue par une autonomie maximale supérieure, gage d'une efficience optimale.
Avec la N°8, DS Automobiles se positionne solidement sur le segment des berlines électriques haut de gamme, offrant un design distinctif et des performances convaincantes. Face à elle, la Volvo ES90 propose une alternative scandinave avec des dimensions généreuses, une technologie de pointe et une autonomie similaire. Les deux modèles se montrent donc très proches en termes de dimensions mais la nouvelle ES 90 de Volvo est très nettement plus chère que la DS N°8 avec un prix de départ de 75 900e quand la berline électrique française débute sous les 60 000€, cette dernière prend un sacré avantage d'autant qu'elle offre une autonomie dans le match, voire même supérieure. Les consommateurs auront désormais deux nouvelles berlines électriques permettant d'avoir des options diversifiées en fonction de leurs préférences esthétiques et technologiques.
Je viens de lire que DS(comme Stelantis) ne sera pas présent au salon de Munich à l'automne ; ils sont tellement connus en Allemagne qu'ils n'ont pas besoin de salon !
le point fort de DS et de ce n°8 en particulier, c'est la qualité de la sellerie, pour le reste bof, ça me rappelle la C6 à sa sortie, un mélange d'audace et de suranné avec des exercices de styles comme les vide poche demi lune en placage. On sent le travail un peu laborieux parfois, et comme dans un numéro de cirque, l'idéal c'est quand on ne voit pas le travail.
Extérieurement un mélange de calandre à l'ancienne revisitée comme disent les mauvais cuistos et équipée en option d'un éclairage d'une esthétique forain qui adore la déco façon manège... Des artifices de peinture pour avoir l'air d'innover, un véhicule haut sur pattes avec une ceinture de caisse toujours tr…
La Volvo n'apporte rien de nouveau sous l'angle esthétique. Son intérieur plagie Tesla, qu'est donc devenue l'ambiance "Suédoise" des Volvo d'antan? Quant à ses puissances électriques indécentes, elles sont sûrement accompagnées de poids conséquents, engendrant des consommations électriques en rapport. C'est une hérésie qui tombe sous le sens. DS n° 8 prend le risque de l'originalité et incarne la limite que devrait atteindre un Premium Electrique. Elle tangente la démesure, mais quitte à chagriner le besoin d'égo de quelques Happy few, DS n°8 propose la juste mesure.
Trop gros, trop lourd, trop cher, trop moche....cherchez l'erreur !
la Volvo S90 ne se vendait pas beaucoup en France(à peine 10 par mois) c'est pour ça qu'ils ont arrété de la commercialiser chez nous ; la ES90 ne se vendra pas beaucoup plus ; quid de la DS 8
vu le prix demandé je crains le pire même si je veux y croire