Le groupe Stellantis participe à la deuxième édition de la Rio Innovation Week, l'un des plus grands rendez-vous de la technologie, de l'innovation et des affaires en Amérique latine. A cette occasion, Citroën en profite pour présenter, pour la seconde fois au Brésil, Ami.
Succès en Europe, Ami fait donc sa deuxième apparition publique au Brésil et Citroën ambitionne plus que jamais de la commercialiser en Amérique Latine. Ami se veut comme une alternative intelligente pour les déplacements urbains et la logistique et, à ce titre, a toute sa place au Brésil. C'est pourquoi Citroën est, déjà, en phase de test pour commercialiser Ami, ce qui démontre que la participation à la Rio Innovation Week n'est pas innocente. Pour cette première série de tests initiaux, les contrôles d'Ami sont concentrés autour du Pôle Automobile de Betim (MG), avec l'appui des pôles techniques de Stellantis.
Décidément, AMI n'en finit pas de surprendre et son potentiel se révèle énorme tant elle répond à des enjeux de société où elle permet une mobilité accessible, douce et propre. Avec cette phase de tests enclenchée au Brésil, Citroën envisage donc de commercialiser AMI dans le pays et commence à démontrer les qualités de la voiture au travers d'évènements pour tester les réactions du public.
Citroën fait preuve de prudence, et ne souhaite pas dupliquer ses AMI, sans les adapter aux contraintes des différents marchés. Or, ce n'était pas toujours le cas, et Citroën l'a payé au prix fort (Je pense aux USA, avec les DS puis SM). L'AMI brésilienne devra être capable de prouver sa robustesse, sur des routes loin des faubourgs des grandes villes occidentales, et pour l'Amérique latine, soigner l'aération de son habitacle, les premiers propriétaires d'AMI, ayant pointé cette faiblesse. Mais à l'approche de Noël, j'ose croire que Citroën teste aussi AMI dans des conditions plus dures, afin de préparer la sortie de la version AM, acronyme utilisé naguère pour signifier "améliorée", et collé à l'identification des 2 CV AZ, devenant…
Là production resterait donc au Maroc ? L’usine en a les capacités ?